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on dit que la musique adoucit les moeurs…. je pense que la poésie apaise l’âme. en hommage à la plus belle journée de ma vie et à mon tendre époux jean-michel mon amour, je suis devant toi aujourd’hui, et tu souris tu souris, tu me regardes et dans tes yeux je lis un amour inconditionnel, un amour si profond que notre « oui » de ce jour s’y confond autour de nous, ce tout, ce flou que nous ne voyons pas la famille, les enfants, les amis, pourtant sont bien là heureux de participer à ce pas, qui pour eux, est géant un mariage voyons, deux personnes, un oui c’est évident ! je voudrais trouver juste là les bons mots pour ce bonheur qui me submerge et qui en moi se fond tel un volcan sauvage, petit feu de moi que je te donne, que je pose sur ta vie, et à mon doigt tu glisses cet anneau, symbole pour tant de soirs que nous partagerons, sourires, fou rires, désirs et espoirs tes yeux si doux guettent en moi la petite graine de folie cette réaction qui fleurit et pose des sourires dans ta vie oui on se marie, on s’épouse toi et moi, mon amour pas un jour, pas un soir, mais une vie, pour toujours ils se disent que des milliers l’ont juré avant nous et on ne peut que s’incliner devant leur atout mais aujourd’hui, peu importe le jour où le lieu je lis dans tes yeux si doux, combien tu es heureux de prendre ma main dans la tienne, moi qui tremble déjà sortons vite, faisons la fête, soyons en joie créons ensemble une version du bonheur, un poème où chaque soir nous nous endormirons en murmurant « je t’aime » ma main dans la tienne, je sors et fière d’être ta dame à toi je me blottis un peu plus et t’embrasse du bout des lèvres, viens, osons l’avenir mon tendre amour à moi ta petite neel dans : textes en vrac par missmawie le 14 mars, 2009 a 22:23 permalink for this post -- commentaires : 0 rions rions, ce bonheur en notre maison un toit, un toit par dessus nous on en a rêvé, on en a tant parlé de tout ces plans échafaudés ces milliers de questions qui se sont posées ce soir nous nous endormons l’un contre l’autre on ose ouvrir les yeux, bonheur latent dans cette maison qui est la nôtre. on ose y croire réellement chaque porte grince son émoi chaque vitre rayonne de nous voir là tendrement enlacés, le cœur serré les mains fébriles, caresses et baisers attendre 40 ans, attendre et se perdre ce long moment se dire que l’on n’aura jamais ce bonheur tant désiré cette joie inespérée de se trouver face à sa moitié oser croire que chacun retrouve sa chacune oser le dire, et du passé ne garder aucune rancune juste la tristesse, vite effacée, de ce temps passé à se chercher rire des commentaires souvent surpris de nos parents, collègues et quelques amis qui nous connaissant raisonnables et réfléchis nous voient ainsi mordre dans cette nouvelle vie sous notre toit il n’y aura pas de tristesse pas de haine, de railleries, ou de détresse de l’amour comme s’il en pleuvait du bonheur, des câlins, aucun secrets je suis heureuse de partager cette voie avec toi nous, notre amour, notre force et sous notre toit je serait tienne, par delà la porte, les vitres et le ciel car cet amour mon tendre époux, est éternel ta petite neel dans : textes en vrac par missmawie le 30 septembre, 2008 a 9:53 permalink for this post -- commentaires : 0 mon doudou à jean-mi j’ai rêvé si fort, prié même parfois, qu’un soir tu sois là j’ai versé beaucoup de larmes quand tu n’y étais pas je vivais , seule, enfermée, gardant mes espoirs et mes désirs tu vivais seul, ton désespoir, une vie, pas de sourires un jour le destin nous a guidé sur une voie inconnue où ton visage, doux sourire, m’est soudain apparu tout reflétait ton cœur empli d’amour, douce souffrance ce regard profond, où brillait cette envie d’aimer, reste d’enfance nous avons quand même osés, espoir fou d’un peu de bonheur des milliers de mots, une source intarissable, dialogue de tant d’heures où nos cœurs mis à nus, porte ouverte, se sont trouvés enfin, affamés d’amour, emplis de tendresse, rêvant de mille câlins de là où nos corps guidaient heureux et en silence un langage qui scellera un jour notre destin, tendre romance nos chemins se sont ainsi croisés, nous unissant par de là nos baisers la découverte de nos êtres, tendre déraison, nous pleurions heureux, parfaite union tu voyages aujourd’hui sur ma route ou est-ce moi ? non, je crois que nous avons ouvert un nouveau chemin, une nouvelle voie celle où nous avançons, cœurs soudés, entrelacs de nos doigts ils nous regardent, sont heureux de nous voir ainsi aimants ils sourient, nous sommes fous, l’amour tant espéré surement ils seront à nos côtés, ceux qui vraiment tiennent à nous les autres, nous montrant du doigt, ne comprenant rien, nous on s’en fout nous continuons la construction de notre vie, de ce bonheur nous nous aimons, loin des souffrances, nulles larmes en nos cœurs je te remercie d’être là, en mon âme et mon esprit de-ci de-là danse telle une hirondelle au printemps, caracole, légère, amoureuse de toi je t’offre aujourd’hui quelques mots posés, plume légère je t’offre mon amour, ma vie, ma joie, telle une prière posés sur ta vie, mes armes, mon amour, oser ouvrir la voie ma main dans la tienne, être ensemble, à jamais, même au delà souris mon amour, sois sans crainte de l’avenir nous sommes « un » aujourd’hui, notre désir je serai là, pour toi, à tes côtés, à tout jamais je t’aime, toi, mon tendre amour, mais ça … tu le sais ta petite neel dans : textes en vrac par missmawie le 15 juillet, 2008 a 16:19 permalink for this post -- commentaires : 0 ce lui là …. descendre au plus profond des ténèbres, s’y plonger et au bout du compte ne plus oser remonter. s’emparer des doutes, de la guerre et lorsque du lourd combat le glas sonne, rester fermé, un peu de haine, ne vouloir en parler. faire des rêves où seuls tes effrois guident la trame, où seuls tes visions du monde laissent une larme sur l’oreiller. les mains prennent plus qu’elles ne donnent, la peur du geste retenu, cet amour comme une arme au cœur se cramponne, si triste est l’amour déçu. il n’est d’être plus seul que toi , l’homme, que moi femme je chéris, je te connais sous tes frayeurs où tu ordonnes tes fougues, tes passions tu te contrôles, tu me soumets je monte au delà du ciel et des étoiles je dérobe l’éclat pour peindre sur tes yeux, mille étincelles comme des larmes sur ton cœur qui chavire tout bas. sur la brise légère je laisse aller mes désirs et mes émois pour t’insuffler la force de croire en mes paroles sincères, sortant de mon âme pour se poser tout au fond de toi. je voudrais partager tes rêves, en retirer la douleur, faire renaître en ton âme d’homme une pluie, telle des perles regorgeant de douceur. je suis fatiguée de me battre afin de démontrer sur ce bout de papier, l’amour qui en moi frissonne et qui se sent prisonnier. envahir tout ton être, oser me libérer, contre ta souffrance et tes doutes semer par ci par là mes torrents de baisers. laisser fleurir au creux de tes larmes, la graine d’un tendre amour, que toi seul, mon homme, fera fleurir au fond de mon être, de mon cœur bien trop lourd. j’arrête là mes phrases et j’ouvre les bras, je voudrais que tu oses ce soir où je pleure, t’endormir tout contre moi arrêter là les doutes, arrêter ce combat, ne vois-tu pas que nos routes se rejoignent à chaque fois. je n’ai plus de doutes j’ai fait tous mes choix et lorsque l’amour trace la route, à nous de la suivre pas à pas. mon cœur sera une fête et si ce soir il te sourit c’est qu’il reflète ce que tu fais renaître dans mon cœur engourdi. comprendras-tu cette lettre comprendras-tu mes mots, fuiras-tu sans cesse loin de moi un peu trop. ou laisseras-tu là tes armes pour un ultime combat, celui qu’à deux on mène et qui s’appelle le vrai amour je crois. neel. dans : textes en vrac par missmawie le 25 mars, 2008 a 12:06 permalink for this post -- commentaires : 0 de par les nuages…. en rêve….. une fois encore mon âme s’envole au loin te retrouver, me blottir contre toi, oublier mes chagrins laisser mes yeu